Aparté décoche ses dernières cartes. Et pas des moindres. Du milieu de ce mois d’avril duquel nous pouvons saluer la clémence météorologique, les cocottes des Croisées Créatives fignolent les derniers préparatifs. Et elles ont bien taillé leur route depuis la première version du festival. Elles en ont croisé de nouvelles, en ont tracé d’inédites. Elles mijotent quelque chose de grand.
Six mois que ça macère. Les températures grimpent. L’ébullition est imminente. Selon sa tradition, le joli projet des Croisées s’attache à mélanger les disciplines artistiques à sa sauce. Intersections, croisements, dialogues. Les artistes réunis pour l’occasion vont performer sous un même projecteur. Résultat des courses : un programme de derrière les fagots, audacieux à souhait, et à déplier d’urgence.
Du côté de la rédaction, ça travaille sec également. Les températures grimpent elles aussi — corporelles, cette fois. Il faut dire que ce sujet singulier nous picotait l’hypophyse. N’étant, chacun le sait (sic), pas du genre à vous tricoter une enquête de pacotille, nous nous sommes postés, pour parachever notre pile de dossiers annuelle, à l’ombre des filles, des clubs et des cabines. Une grosse investigation sur le sexe à Toulouse vous attend. Prostitution, péniches échangistes, saunas libertins, sex shops et sex toys : le menu est des plus alléchants. Chacun pourra, d’ici quelques jours, le compulser à la carte.
D’ici là, bonnes Croisées, bonnes vacances. Et bonne lecture.
Cocottement,
P. C.